Edwige JURILLI-COULY

Sophrologue Professionnel RNCP

Certification reconnue par l'état, niveau III.

Inscrite au répertoire National des Certifications Professionnelles

Formée au cycle supérieur de Sophrologie (Radical et Existentiel) par :
-Le Docteur Patrick André Chéné, directeur de L'Académie de Sophrologie de Paris
-Dr Chedeau Guy, Hypsos
- Dr Orlewski Martine, Ecole de sophrologie du Languedoc
- Dr Rodà Charles, Académie de sophrologie Alsace
- M. Neve José, Ecole professionelle de sophrologie de l’Artois
- M. Liabot Christian, Académie de sophrologie de Bourgogne 



académie de sophrologie paris corse

 

C'est en sortant de mes cours de théatre (Florent, Simon) que j'ai été happée par les contes. Toutes ces expériences vécues dans les musées, expositions, théatres ... compagnies, interventions avec des psychologues et éducateurs dans des centres pour adultes et jeunes en difficultés, femmes battues... m'ont permis de donner un sens à ce métier.
 

Puis au hasard des rencontres,
j'ai découvert la sophrologie.
Elle fut pour moi comme une évidence
dans la continuité de mon évolution.


 
C'est ainsi que j'ai été formée à l'académie de Sophrologie de Paris XVème par le Docteur Patrick-André Chéné.

 

Déontologie

La sophrologie ne se substitue en aucun cas à un avis médical.
(Texte intégral du Code de déontologie sur le site du Syndicat des Sophrologues Professionnels)

Le sophrologue s’engage à respecter les cadres et principes généraux de la méthode. Il respecte les valeurs que défend la sophrologie : responsabilité, tolérance, respect de la liberté individuelle et de la dignité humaine, tant envers ses clients qu’envers ses confrères.

Il exerce son activité sans aucune discrimination d’âge, de sexe, de race, de religion ou d’appartenance politique.

Le sophrologue est tenu au respect absolu du secret professionnel envers ses clients, de manière à assurer la protection du cadre d’exercice professionnel.

Il s’engage à respecter les cadres et limites de ses compétences, à informer et justifier de celles-ci auprès de ses clients.

Le sophrologue ne concurrence pas les professionnels de la santé. Il ne pose pas de diagnostic, n’influence pas les choix thérapeutiques de ses clients et n’interfère pas dans les traitements en cours.

Il dirige sur un thérapeute compétent et dûment qualifié le client qui nécessite une aide qui ne relève pas de ses compétences.




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